Courbure ou maladie de Lapeyronie ?

Qu’est ce que la maladie de Lapeyronie ?

La maladie de Lapeyronie est une sclérose des corps caverneux. Elle peut être plus ou moins étendue en longueur ou en profondeur. Généralement, elle entraîne une déviation de la verge voire une dysfonction érectile.

Cette maladie est souvent appelée maladie du pénis courbé. Il faut cependant noter qu’il existe des pénis naturellement courbés. Ces derniers peuvent causer une douleur ou de l’inconfort lors de rapports sexuels. Il existe également des malformations congénitales qui s’opèrent si l’urologue l’estime nécessaire.

En quelques chiffres…

  • 3 à 9% de la population masculine est touchée par la maladie de Lapeyronie.

  • 5 à 10% des hommes souffrant d’une maladie de Lapeyronie sont atteintes par une forme entraînant des déformations ou des gênes
    importantes (source comité d’andrologie de l’AFU).

  • La moyenne d’apparition tourne autour de 53-55 ans. Mais la maladie peut survenir à tout âge, de l’adolescence jusqu’à la fin de la vie.

Seul un urologue peut établir le diagnostic. Cependant, les hommes peuvent constater par eux-mêmes les symptômes, notamment lorsqu’ils sont en érection, qu’elle soit matinale ou lors d’un rapport sexuel.

Nos traitements

Vacuum Vacurect

Le Vacuum permet d’oxygéner les tissus érectiles. De ce fait, il permet une rééducation pénienne efficace. Ensuite, dans les cas de maladie de Lapeyronie légère, il permet de rectifier la courbure.

Ainsi, nous proposons différentes versions du Vacuum VACURECT (dispositif agréé CE de classe 1 et recommandé par de nombreux urologues) :

  • Vacuum Vacurect Complet (Luxe RX) 
    Double action : rééducation pénienne et activité sexuelle

  • Vacuum Vacurect Rééducation (Luxe RX Rééducation) 
    Une seule action : rééducation pénienne

Extenseurs péniens

C’est un dispositif externe non invasif de dernière génération. Son objectif est d’agrandir ou de modifier la courbure du pénis et ceci de façon naturelle. Par ailleurs, il utilise le principe de traction. Ainsi, il stimule la croissance des corps caverneux et du reste des tissus péniens en forçant les cellules situées à l’intérieur du pénis à se multiplier par cytocinèse. Il va donc permettre de pallier en partie ou totalement à la moindre vascularisation des zones fibrosées.